LA REANIMATION 
DANS LE MONDE

En France, les services de réanimation prennent en charge 800 000 patients par an. 

Ces patients sont dans des états graves (taux de mortalité : 25%). 

90% des patients en réanimation se plaignent d’un mauvais sommeil. 

Aucun traitement ou soin ne peut être mis en place faute d'information sur l'état de sommeil du patient.

EXPERTISE

Le professeur Xavier Drouot, expert du sommeil en réanimation, vous explique l'importance du sommeil dans ce service et son projet de recherche pour l'améliorer.

ACTUELLEMENT

Sans notre dispositif, une étude du sommeil en réanimation, c'est :

1 polysomnographe

Lourd, coûteux, encombrant, inconfortable pour le patient et gênant pour l'équipe soignante.   

1 des 5 experts mondiaux

Sans algorithme d'analyse, l'enregistrement des signaux est obligatoirement soumis à l'interprétation d'un expert du sommeil en réanimation.  

1 technicien spécialisé

La pose du polysopmnographe est longue et nécessite la présence d'un spécialiste.

PUBLICATIONS SCIENTIFIQUES

De nombreuses études scientifiques prouvent l'impact du manque de sommeil chez les patients de réanimation.

Démontre pour la première fois lien entre mauvaise qualité du sommeil et pronostic chez des patients de réanimation. Les patients qui présentaient un trouble majeur du sommeil avait une plus grande probabilité d‘être intubé ou de mourir que ceux qui présentaient un trouble du sommeil sévère mais non majeur.

 « Les altérations du sommeil augmentent la mortalité, Yale Connecticut,  2018 »  
Article A4
publiée par une équipe de l’université de Yale (New Haven, Connecticut, USA)

Montre que les troubles majeurs du sommeil entrainent une augmentation de la mortalité en réanimation.

« Les altérations du sommeil compromettent le sevrage ventilatoire ; Toronto, 2019 »
Article A2 
 réalisé en collaboration avec le Pr L. Brochard (Keenan Research Centre, and Respirology and Sleep Laboratory, St. Michael’s Hospital, Toronto, and Interdepartmental Division of Critical Care Medicine, University of Toronto, Canada) 

Reproduit nos résultats en montrant une association entre un faible temps total de sommeil et un échec lors de la tentative de sevrage de la ventilation assistée. Les patients qui dormaient le moins (187 min) restaient 10 jours en moyenne en réanimation alors que ceux qui dormaient une heure de plus (260 min) restait seulement 4 jours en moyenne.

Paru dans une des plus grande revue mondiale, démontrant qu’une plus grande sévérité des troubles du sommeil de patients en réanimation est associée à une plus longue durée de sevrage ventilatoire. Les patients qui avaient des troubles majeurs du sommeil avaient besoin d’une ventilation assistée durant 21 jours et restaient 24 jours en réa,  alors que les patients ayant des troubles du sommeil sévères mais non majeurs avaient besoin d’une ventilation assistée durant 10 jours seulement et ne restaient que 13 jours en réanimation.

Montre une association entre les troubles majeurs du sommeil et une mortalité importante en réanimation.

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